une femme libre pour autant que référée à l’Evangile, ancrée comme Marie dans la dynamique trinitaire :

« fille bien-aimée du Père, mère de Jésus, épouse de l’Esprit ».

une « SŒUR PAUVRE », qui, « pèlerine en ce monde », tend à vivre « en sainte unité et très haute pauvreté », dans une dynamique d’accueil et de don, de contemplation et communion à Dieu, aux hommes, à la création toute entière.

Une clarisse est une femme dont la vie est polarisée –en commun avec les sœurs que Dieu lui donne- par la quête du Visage de Dieu, dans la relation confiante et pleine de gratitude envers le Père des miséricordes –Source de tout bien-, la suite aimante et passionnée de Jésus humble et pauvre, la disponibilité à l’inattendu de l’Esprit et la docilité à son action en nous, portant le souci des hommes, dans une attention particulière aux plus petits d’entre eux.

« L’être clarisse » se revêt de simplicité et de joie, d’humilité, de compassion, miséricorde et charité fraternelle.

« L’être clarisse » se nourrit de louange et d’intercession, d’adoration et d’amour de l’Eucharistie, de la Parole de Dieu et de l’Eglise.

« L’être clarisse » se déploie dans l’appartenance à la grande famille franciscaine qui, sous diverses modalités, suit les pas de St François et Ste Claire d’Assise.